Principes d'évaluation
Les Compétences en gestion de projet
Elles sont évaluées vis-à-vis du Référentiel de Compétences Spécialités développé par la SMaP en accord avec l'ICEC AACEI.
Elles se testent par des QCM et des études de cas. Ces épreuves sont rédigées par des spécialistes du domaine, constitués en Comités. Elles sont corrigées par des spécialistes désignés par la Commission de Certification.
Elles peuvent, pour certaines, être testées par des mises en situations et des entretiens
Les Compétences Direction de projets
Elles sont évaluées vis-à-vis du National Competence Baseline (NCB) français, traduction de l'ICB4 développée par la SMaP, en conformité avec le Manuel Qualité de la SMaP.
Les compétences des candidats sont jugées, soit par un examen de connaissances soit / et par un rapport évalué et débattu par un jury d'assesseurs selon les différents niveaux. Des ateliers peuvent également être utilisés pour évaluer les compétences des candidats. En complément des certifications, la SMaP propose la rédaction d’une Fiche d’Analyse Individuelle (FAI) permettant d’avoir un bilan de compétence des candidats.
Conditions d'éligibilité et validité
Organisation pratique
La SMaP n’a pas de Centres d’examen commun à plusieurs candidats, écoles, universités ou entreprises et ne fixe pas de dates de certifications. Elle s’adapte à la demande des organismes souhaitant certifier, aussi bien en terme de dates que de lieu. Toute la logistique est assurée par l’organisme souhaitant certifier, soit au travers d’un accord spécifique, soit au travers d’un contrat « Centre d’examen ». Les candidats individuels sont intégrés aux sessions collectives qui ont lieu régulièrement tout au long de l'année.
La SMaP assure la désignation des assesseurs, la fourniture des épreuves ou ateliers de mise en situation ainsi que les corrections éventuelle et la communication des résultats.
Pour un candidat en situation de handicap, la certification peut être ajustée raisonnablement. Cet ajustement doit être demandé en même temps que la soumission du dossier d’éligibilité. Le même principe d’ajustement raisonnable peut être justifié par des conditions exceptionnelles survenant au cours d’un processus de certification.